A la fin de XIX siècle, le commerce international a été commencé de se développer à travers de nations. Le Grand Bretagne était le premier pays du monde qui progressivement supprimer les barrières aux échanges internationaux, notamment sur le continent européen comme la France et l’Allemagne. L’idée est reprise de David RICARDO qui dit, lors qu’un commerce ouvert fondé sur la théorie de l’avantage comparatif était donc mutuellement profitable à tous. L’accroissement du commerce profit à tous les pays parce que la spécialisation de la production réduit les coûts moyens, en effet les consommateurs puisses avoir accès à tous les variétés de produits similaires par rapport son choix de qualité de prix.
Par contre, la deuxième guerre mondiale reste marquée par un fort protectionnisme. Dans ce contexte, des Etats ont été commencé de limiter les échanges avec quelques mesures du protectionnisme comme des limites de quotas ou la création des tarifs douaniers en réaction de la crise pour un but simplement de protéger des produits nationaux.
En bref, les échanges sont désorganisés après la deuxième guerre mondiale. Pourtant, il s’agit de réaction par des économistes de trouver une façon pour reconstruire des Etats juste après la guerre, pas seulement sur le fondement en voie d’économique mais également en voie du développement instrument juridique fort. Donc c’était la création d’aboutir à l’institution du GATT qui devienne désormais une Organisation Mondiale du Commerce, dont l’OMC.
Toutefois, il s’agit ici de savoir si les échanges internationaux pourraient stimuler le développement économique ou bien à l’envers, dont de nous conduire à la crise financière, économique, et sociale.
Dans ce contexte, il est intéressant donc de discuter dans une première partie sur des effets de la crise économique et financière en 2008, qui par ailleurs crée d’une contestation sur la mondialisation du commerce.
Les effets de la crise économique et financière en 2008 ont réussi de toucher non seulement des pays en voie développements mais également des pays émergents, en particulière les Etats Unies et l’Union Européen. Il semble que la crise financière donne des effets directement sur la productivité de production des pays émergents qui désormais perte un peu de la vitesse avec des pays en développements, comme la Chine, le Brésil, et l’Inde.
Quelque uns disent que cette crise est un effet celui de l’ouverture à la mondialisation du commerce. D’ailleurs, les problèmes se posent aussi sur la vitesse des pays en développement tandis que les pays émergents face à la crise.
Enfin, elle se contente de rappeler quelle question vient d’être traitée sur le retour du débat sur des valeurs de protectionniste et quelle autre question qui doit également être résolue sur les effets en pratique afin de résoudre sur des effets de la crise économique et financière.
Le retour des Etats à la mesure du protectionniste
Le principal objectif sur le retour du protectionniste est véritablement de protéger le marché intérieur. Au début, le débat sur le retour du protectionniste est un débat qui s’agit plutôt dans les pays en développement que les pays émergents. Par contre, il s’agit désormais dans des pays émergents, vers la mise-en-place de mesure protectionniste notamment pour les produites en provenance de la Chine et ses voisins qui sont en train de l’inonder des marchés des pays émergents.
Les protectionnistes ne pensent que les échanges internationaux portées directement sur les salaires et indirectement sur la fiscalité et la réduction de la prestation sociale. En Europe, depuis son ouverture de la zone de libre d’échanges, la Chine et ses voisins ont été considérés responsable sur la déflation salariale. Dans ce cas les pays émergents semblent perdre dans la concurrence notamment sur la prestation sociale avec celui de travailleur en provenance de la Chine et ses voisins. En ce cas, la Chine et ses voisins ont des niveaux très bas sur la prestation sociale que dans les pays émergents. Du coup, ils peuvent créer l’augmentation de sa production plus rapide qu’en pays émergents. Ce problème là qui conduit les pays émergents de revenir par ailleurs à la mesure du protectionniste, dont de protéger leur produit national.
Ensuite, afin de résoudre la question qui se pose au-dessus, il est également important de savoir quels sont des effets en pratique, non seulement sur des effets négatifs mais également sur des effets positif celui du libre d’échanges.
Les effets du libre d’échanges
Lorsque nous discutons des effets sur l’ouverture de libre d’échanges, il faut donc distinguer les effets, non seulement sur des points négatifs mais aussi sur des points positifs. Dans ce cas, nous ne pouvons pas seulement juger que le libre d’échanges ne crée seulement une déflation salariale, la diminution de la production, le retard des commerces, etc.
Même que le retour au protectionniste a été augmenté beaucoup plus vite du aux demandes sur la protection des entreprises et des emplois nationaux, dans une autre côté les pays en développements, qui sont notamment des tributaires des exportations pour tirer la croissance, seraient le plus durement touches si leur gouvernement véritablement décidaient d’établir des barrières sur des échanges internationaux. En plus, il peut également conduire à l’émergent des problèmes du chômage en ce qui travaillant dans le domaine des exportations.
Autrement dit, il est clair que le protectionnisme est une mesure de la protection des produits nationaux, mais au contraire il peut devenir un danger pour celui du renforcement progressif des restrictions qui pourraient restreindre du commerce.
La contestation à la mondialisation du commerce
Nous somme aujourd’hui dans une période le plus incertain de la crise mondiale. C’est semblablement que nous somme coincés dans un cercle où tous les facteurs ont des relations les uns les autres. Nous ne pouvons pas dire lesquelles meilleures solutions pour échapper de la crise, est-ce que celui le retour au protectionniste ou le renforcement de la mondialisation du commerce.
La crise économique et financière en 2008 qui directement touché la plus puissance économique du monde, dont les Etats Unies, sont véritablement des effets de la commerce mondiale et du système libéralisme leur même. Lorsqu’il existe un principe de liberté sur des échanges internationaux, du coup les gens, les biens, et les services peuvent aller rapidement sans les barrières. L’Etat A peut acheter les marches des valeurs de l’Etat B, l’Etat C peut investir sur l’Etat B, par conséquence si un Etat faille d’entretenir sur la croissance d’économique mondial, du coup il pourrait crée un effet domino à tous les Etats partenaires. D’ailleurs, lesquelles Etats qui peuvent échapper de la crise comme celles de la Chine et ses voisins ou lesquelles Etats qui va tomber directement dans la crise comme celles de la Grèce ou l’Italie, ça dépende donc aux différences systèmes économiques, juridiques, sociaux et cultures des pays.
Dans ce cas, le développement des échanges internationaux ont besoins maintenant des fondements juridiques pour que le fonctionnement du commerce soit fort démocratique, comme ledit Pascal LAMY, le directeur général de l’OMC. Il faut que tous les Etats soient prêtes de mettre-en-accord de résoudre les blocages dans la mondialisation du commerce, notamment sur des régimes sociales, sanitaires, et environnementales.
Finalement, la mondialisation du commerce et le protectionnisme ont des points négatifs et aussi des points positifs. Pourtant, le plus important donc comment nous pourrons tous sortir de la crise économique et financière dans une mondialisation libérale. La réponse peut être donnée par la naissance de l’OMC qui a été arrivée avec son fondement juridique très contraignant mais aussi flexible.
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